 | Atmosphère Internationale la lettre de veille stratégique du commerce international
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Palmarès 2010 de la responsabilité sociale et environnementale en Asie |
| Synthèse : Audit social et contrôle des conditions de production font partie de vos procédures d'achat ? 10 pays asiatiques ont été évalués sur leurs pratiques en termes de gouvernance et d'engagement social et environnemental en 2010 : une cartographie à contre courant des idées reçues ! La notation ASR (Asian Sustainability Rating ™) est un outil d'évaluation de la gouvernance sociale et environnementale des entreprises asiatiques, dont les résultats sont publiés annuellement sous forme de rapport*. Les investisseurs et autres acteurs financiers utilisent cette étude pour compléter leurs analyses sur la pérennité des entreprises en Asie. L'étude porte sur 10 pays (voir tableau ci-dessous) et 12 secteurs d'activité, dont 4 ont fait l'objet d'une analyse plus poussée (banque, immobilier, télécoms et services) : au total, 542 entreprises asiatiques ont été évaluées en 2010. L'évaluation par pays dévoile de gros écarts entre les premiers et derniers de la liste :
Bilan sectoriel : sur les quatre secteurs mis en avant par l'étude, celui des télécommunications obtient la meilleur moyenne, tandis que celui de l'immobilier est très nettement en bas de classement... * Document à disposition de nos abonnés sur simple demande. |
| Avis de l'expert : Poussées par les exigences boursières internationales, les entreprises asiatiques cotées en bourse contribuent à normaliser la prise en compte de critères non financiers dans l'évaluation de leurs performances. Comme tout système d'évaluation, le classement mérite toutefois d'être pondéré par ses conditions de réalisation puisque la quantité autant que la qualité des réponses entrent en ligne de compte. Certains secteurs sont notamment plus aguerris à ce type de démarche et maîtrisent mieux les codes de communication sur les sujets sensibles. Sur un plan global, on constate que les entreprises les plus manufacturières doivent améliorer leur cote sociale pour garder leur main d'œuvre qualifiée, tandis que les plus industrialisées doivent s'engager davantage sur le volet environnemental du développement durable. |
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